La répartition des responsabilités dans le fédéralisme coopératif allemand est administrative, et non double :
La plupart des domaines politiques sont soumis à la législation concurrente de la Fédération et des Länder. Jusqu’alors, cela signifiait que le gouvernement fédéral façonnait les conditions-cadres, tandis que les Länder les complétaient par leurs propres lois ; mais surtout, ils sont les porteurs de l’administration des Länder. La difficulté d’une telle structure étatique est de limiter le niveau de détail des décisions centrales de manière à ce qu’il y ait suffisamment de place au niveau des États constitutifs, c’est-à-dire des Länder, pour leurs propres décisions et lois. Une telle répartition doit donc être constamment rééquilibrée en fonction de l’évolution des circonstances. À la répartition juridique des compétences se superpose la question de la répartition des finances, qui est déterminante pour l’exercice effectif des compétences.
Dans ce contexte, l’exigence d’approbation des lois fédérales a été de plus en plus étendue. Les critiques croissantes du fédéralisme allemand visaient l’unitarisation, l’interdépendance des politiques et le fédéralisme dit participatif des exécutifs aux dépens des parlements.
Étant donné que, par exemple, dans les questions de compétence des Länder concernant les activités des organisations de contrôle dans le cadre de l’Office fédéral de la protection de la nature, aucune transparence n’est donnée, l’arbitraire apparent de ses activités prévaut. Ainsi, il n’y a pas non plus de surveillance du marché et la compétence-responsabilité pour le citoyen, entre le gouvernement fédéral et les états, n’est plus reconnaissable. En général, la question se pose de savoir pourquoi il existe encore une division des responsabilités entre le gouvernement fédéral et les gouvernements des États. En tout état de cause, les structures claires ne sont pas reconnaissables pour le citoyen. On envoie donc le citoyen, avec ses questions, à une autorité prétendument responsable et en cela à Ponce à Pilate.
Cependant, si l’on a trouvé un point de contact ou un service après une longue recherche et que l’on lui a écrit, il arrive de plus en plus fréquemment qu’une réponse ne soit pas donnée. C’est pourquoi il faut poser la question suivante aux pays de la République fédérale, avec leurs serviteurs : ne les veulent-ils pas pour le citoyen Dasein, ou sont-ils tout simplement surtaxés ? La GAGT e.V., demande donc, ils promettent des améliorations pour l’avenir et les créer plus de transparence, pour les responsabilités dans leurs autorités et / ou unités, enfin, les citoyens (contribuables) sont leurs employeurs et personne d’autre.